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Mille et une Terrasse N° 142 Santé Loisirs presents Calvin Grad & Leo Hardman-Hill & Liouba Frydman

UN PEU de souvenirs d’objets trouvés lors de la cent quarante deuxième des MILLE et UNE TERRASSE avec, une fois de plus, la revue SANTE LOISIRS de l’artiste Eric Kinny – grand passionné de la culture américaine de dernière génération. La nouvelle société de l’« américan way’s life » n’a plus rien à voir avec celle d’après-guerre. Plus en doute, depuis l’époque rageuse contre les machines et sa vive jeunesse. En 50 ans, Le drapeau américain a définitivement rejoint la guerre des étoiles, un cinéma de films sans fin, devenant peu à peu - une archéologie religieuse du futur artificiel. Les opioïdes, le « ground zero », les subprimes et les limitateurs ont tout dévasté - des premières nations, jusqu’à l’underground. Les objets perdus des uns, deviennent alors – « les objets trouvés » des autres. Ainsi Eric Kinny présentait ses dernières trouvailles dans lesquelles survivent des éclats d’artisanats musicaux pour enchanter le centre de beauté culturelle. Tout d’abord avec le concert de Liouba Frydman. L’artiste présentait tout un répertoire pianistique. Sa performance remettait au goût du jour, la façon impressionniste française du début du XX ième siècle. Le défunt compositeur Ryuchi Sakamoto avait consacré quelques-unes de ses plus belles compositions par ce mode musical. Liouba Frydman mettait ostensiblement une moustache d’emprunt entre son nez et sa bouche, puis posait sur le piano angélique, une véritable emprunte artistique avec beaucoup d’adresse et de talent. Son compagnon était venu l’encourager et lui offrait un magnifique bouquet de fleurs à la mesure de leur amour. Ensuite Eric Kinny avait profité du passage de deux compositeurs américains à Bruxelles. Il leur avait proposé de venir jouer UN PEU sans que les deux musiciens n’eussent pris aucun de leurs instruments avec eux. Eric Kiny avait donc fait appel à plusieurs musiciens de différentes villes du royaume. Notamment pour le compositeur Leo Hardman-Hill. Il dirigeait en chef d’orchestre un ensemble à cordes – violoncelles, violons, guitare et batterie. Il présentait une pièce partagée entre la beauté et les tourments de l’humanité. Après l’entracte, Calvin Grad terminait la soirée de manière apaisée et folk dans l’auditorium de la terrasse sous terraine de la cent quarante deuxième des MILLE et UNE TERRASSE.

Photographie trouvées dans les appareils photographiques de Cayo Scheyven





































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