Mille et Une Terrasse N° 274 Hanoi
- Matthieu Ha

- Nov 9
- 1 min read
UN PEU de souvenirs de la deux cent septante quatrième des MILLE ET UNE TERRASSE lors de la tournée TUN YIN SHOU ou les « Les bêtes sauvages dévoreuses de voix ».
Cayo et Matthieu Ha quittaient de très bonne heure leur hôtel accompagnés par deux caméramans. Ils prenaient un taxi pour l’aéroport de Canton à 5h30 du matin, le jour ne s’était pas encore levé. MES LEVRES embarquaient en fin de matinée à bord d’un airbus par un escalier mobile. L’avion décollait - Mes lèvres embrassaient une dernière fois des yeux - Guangzhou et l’empire du milieu. Le reste de l’équipe de la tournée était resté sur place, Xiao He profitait de deux jours auprès de sa famille - avant de rejoindre nos deux amis au Vietnam. Cette deuxième étape avait été organisée par Matthieu Ha et Cayo. Elle consistait à préparer et diffuser la 17 ième émission d’ANTENNES BRANCHES dans un village - Vu lhin - au Nord Vietnam. A quatre heures de là, Mes Lèvre et les deux cameramans atterrissaient tout d’abord à Hanoi. Ils avaient réservé une chambre d’hôtel dans le centre-ville pour une nuit et profitaient d’un jour de repos. Hanoï gardait le caractère de son architecture ancienne. L’ambiance n'avait rien à voir avec les grandes chaussées modernes chinoises. Rues, ruelles, chemins de fer débordaient d’actions minuscules, lentes ou rapides, grâcieuses, bruyantes, et improvisées. La modernité s’adaptait encore Botanique urbaine, Tiédeur de la pluie, le chaos des petits commerces, les ruelles étroites, les fils électrique, l’équilibre des habitats superposées. Les magasins, la cuisine de rue. Conduire ses enfants, un camarade, un meuble, ses amours, sa mélancholie, sa convivialité, son insouciance sur le porte bagage d’un scooter. Saturation fluide de la circulation en tout genre - bus, motos, voitures, charrettes, bicyclettes, piétons, touristes, porteurs, travailleurs, poètes, voyageurs, café noir, café marron, café blanc, végétalisation du klaxon et du temps, embouteillage, apéro, alcool de riz, cigarettes Tang Lao. Un jour de repos dans La beauté du chaos et durant la deux cent septante quatrième des MILLE ET UNE TERRASSE.
Photocyclettes de Cayo van Breugel



















































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