UN PEU de souvenirs du cinquantième et merveilleux anniversaire de
Cayo lors de la nonante sixième des MILLE et UNE TERRASSE. La fête
s’est déroulée à son domicile et a été le théâtre d’une joie
collective parmi ses 120 convives. Le nombre 120 est devenu pour
l’occasion un multiple inédit de 50. Les multiples vies de Cayo se
sont ainsi réunies - entre celle relative à sa famille hollandaise
dont son frère Willem, sa Sœur Linnie, Son inébranlable père, ses
enfants Sophie, Charlotte et Juliette et son époux Stéphane
Scheyven. Quant à sa maman, elle est restée chez-elle afin de ne pas
trop se fatiguer avant les fêtes du réveillon car en effet, la
soirée a été longue. Ses amis londoniens sont aussi venus costumés
dans une tenue « adulescente » ainsi que ses amis bruxellois. Faux
cheveux, fausses lèvres, fausses poitrine mais aucun faux-cul. La
Dutchess avait pris soin de décorer avec des rideaux lamés or, la
salle de séjour transformée en piste de danse. Celle-ci a été
investie dès vingt heures où le trio de jeunesse de Matthieu Ha,
Eric Bribosia (Piano), Martin Graindorge (batterie) donnait après
dix douze années d’inactivités, un joyeux récital de fantaisie music
de leur meilleur crue. Ensuite la new yorkaise Christine Renée enchaînait de plus belle. Le vin coulait à flot, les filles de Cayo
s’occupaient du bar à cocktails, Stéphane Scheyven avait préparé sur
la terrasse du jardin, un buffet de légumes crues agrémentés d’une
sauce mayonnaise inoubliable aux anchois. Et enfin, un four à pizzas
se trouvait sur la terrasse devant la maison, pour la réalisation de
120 délicieuses galettes. Aux alentours de minuit Cayo recevait
enfin son cadeau. Elle déchirait du bout de ses ongles le papier
d’emballage. Elle sortait une magnifique guitare électrique de
couleur verte qu’elle avait faite faire par un luthier Belge (www.guttlin.be). Le luthier avait imprimé le logo de MES LEVRES. La taille de l’instrument est plus petite que ses contemporaines, elle donne une plus grande aisance de jeu mais aussi, un son guitare qui convient parfaitement pour les chansons de Cayo. Au milieu d’un chaudron festif en ébullition, et dans une splendide robe d’or, la jeune quinquagénaire va ensuite chanter deux de ses chansons de jeunesse tirées de son ancien duo « Jack & Cayo ». Ovationnée, le nom de Cayo a été chanté, exclamé, scandé comme celui d’une reine de la fête, d’une reine de la vie, d’une reine éternelle. Des élixirs psycho sympathiques ont fait planer la joie et l’allégresse d’un
anniversaire pas comme les autres et durant laquelle plus de sept
cent photographies ont été prises à partir de son appareil
posé sur un trépieds et donnant lieu à la fameuse séance en pause courte communément appelée : PHOTO BOOTH.
Les derniers invités sont partis douze heures plus tard, à neuf heures du matin, emportant précieusement dans leur cœur, le sentiment merveilleux d’un âge d’or.
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